Une petite pépite trouvée sur X et publiée par le collectif de réinformation « mammie Bocock », qui propose « 5 principes philosophiques, moraux et sociétaux capables de nous rassembler ». En hommage à cette démarche stimulante, nous l’avons humblement complété avec 5 grands principes additionnels (numérotés 6 à 10), tels qu’ils nous sont venus à l’esprit sur l’instant.
Aidez-nous à penser : ceci est un exercice collectif qui gagnerait à être complété. Peut-être pourrait-il déboucher sur un manifeste citoyen pour le Bien commun ? – La chose peut sembler candide, toujours est-il que c’est une bonne gymnastique mentale pour tenter de se (re)situer dans un monde en voie de dislocation, et comprendre en travaillant sur soi, comment l’appréhender bien plus que d’espérer le transformer par la grâce d’une pensée magique. Mais au moins, on ne pourra pas nous reprocher de pas savoir ce qu’on veut, ni de n’avoir aucun programme.
Les 5 principes énoncés par la collectif Mammie Bocock :
« La société française est à la croisée des chemins…
Elle traverse une période charnière. La confiance dans les institutions, les systèmes de santé et les filières agroalimentaires s’érode.
Cette défiance, trop souvent qualifiée à tort de « complotiste », repose sur une réalité tangible : l’influence croissante de lobbies industriels pharmaceutiques, agroalimentaires, politiques sur des décisions qui devraient relever de l’intérêt général.
Il devient urgent de proposer un horizon commun, fondé sur des principes philosophiques, moraux et sociétaux capables de nous rassembler. Un socle éthique sur lequel reconstruire une démocratie vivante, saine et profondément humaine. Elle reposerait sur 5 grands principes :
1. Le principe de souveraineté corporelle
Référence : Ivan Illich – Némésis médicale (1975)
« La santé n’est pas un produit qu’on délivre, mais un état que l’on cultive. »
Chaque individu devrait disposer librement de son corps : choisir ou refuser un traitement, vivre sans injonction biomédicale constante. Cela implique un accès à une information indépendante, contradictoire et libre de tout conflit d’intérêts.
2. Le principe de précaution éthique
Référence : Hans Jonas – Le Principe responsabilité (1979)
Face aux technologies intrusives vaccination de masse sans recul, OGM, intelligence artificielle appliquée à la santé , une société morale doit se fixer des limites. Il ne s’agit pas de rejeter le progrès, mais de le subordonner à une responsabilité intergénérationnelle :
« Agis de façon que les effets de ton action soient compatibles avec la permanence d’une vie authentiquement humaine sur Terre. »
3. Le principe de solidarité concrète, non idéologique
Référence : Emmanuel Levinas – Totalité et Infini (1961)
« La relation à autrui n’est pas un commerce, une symétrie, un échange : elle est responsabilité. »
La solidarité ne peut rester un mot d’ordre abstrait. Elle doit s’incarner dans des choix collectifs : produire localement une nourriture saine, garantir l’autonomie médicale, préserver un environnement vivable. Elle ne peut être décrétée par des institutions soumises à des intérêts privés.
4. Le principe de transparence démocratique
Référence : Hannah Arendt – La Crise de la culture (1961)
« La vérité et la politique ne sont pas nécessairement opposées. Ce sont les structures de pouvoir qui les opposent. »
La démocratie exige un accès réel à la vérité : des données brutes, vérifiables, non filtrées par des agences ou médias sous influence. L’information doit redevenir un bien commun.
5. Le principe de santé holistique
Référence : Edgar Morin – La Voie (2011)
« Nous devons penser la santé dans son tissu complexe, fait d’environnement, de mode de vie, de relations, de culture, et non la réduire à un état biologique. »
La santé ne se limite pas à l’absence de maladie ou au respect de normes biomédicales. Elle inclut la qualité de l’air, de l’eau, de l’alimentation, la richesse des relations humaines et l’équilibre avec l’environnement. Une société en bonne santé repose sur une vision globale de l’humain dans son écosystème.
Ma conclusion : Il est possible de reconstruire une société française apaisée, forte et libre, en s’appuyant sur des principes fondamentaux largement partagés : souveraineté individuelle, responsabilité collective, transparence démocratique, solidarité concrète, et vision holistique de la santé. Ces valeurs ne relèvent ni de la droite, ni de la gauche. Elles relèvent du bon sens éthique et d’un humanisme lucide. Il ne s’agit pas de refuser la modernité, mais d’en reprendre le contrôle au nom de la dignité, de la liberté, et de la vérité. »
Je propose donc de compléter cette supplique avec 5 autres principes pour une refondation morale, politique et civilisationnelle :
6. Le principe d’intégrité psychique et de santé mentale
Référence : Viktor E. Frankl – Man’s Search for Meaning (1946)
« L’être humain est capable de survivre à presque tout, sauf à l’absence de sens. »
La société moderne fragilise l’équilibre mental des individus par l’injonction permanente au changement, à la performance, à l’adaptation sans limites. Il est impératif de reconnaître que l’intégrité psychique est aussi sacrée que l’intégrité physique. Cela implique de combattre l’hyperstimulation numérique, la déshumanisation des relations sociales, l’anxiété généralisée et les pathologies sociales qu’engendre un système marchand qui instrumentalise les émotions humaines : il s’agit bien ici d’affirmer nos neuro-droits. L’école, les médias, l’environnement professionnel et familial doivent redevenir des havres d’équilibre et de sens, non des usines à produire du stress ou des identités fragmentées, orienter l’opinion par des techniques manipulatoires de l’inconscient collectif.
7. Le principe de protection sacrée de l’innocence des enfants
Référence : Janusz Korczak – Le Droit de l’enfant au respect (1929)
« L’enfant n’est pas un homme de demain. Il est un homme aujourd’hui. »
Un peuple qui sacrifie l’innocence de ses enfants pour complaire à des idéologies délirantes ou à des intérêts marchands ne mérite ni la paix ni la postérité. La sexualisation précoce, l’exposition à des récits idéologiques destructeurs de repères (transactivisme militant, confusion des genres, apologie du chaos identitaire), la manipulation émotionnelle sous couvert d’éducation à la tolérance sont autant de violences symboliques.
L’éducation doit revenir à sa mission essentielle : transmettre un socle stable, protecteur et clair, fondé sur le réel, la science honnête, et la sagesse anthropologique. L’enfance est un sanctuaire. Elle ne doit jamais être colonisée par des agendas politiques.
8. Le principe de souveraineté législative populaire
Référence : Étienne Chouard – Le tirage au sort comme arme contre l’oligarchie (2005, diffusion web)
« Le peuple doit écrire lui-même les règles du pouvoir. »
Notre système représentatif est devenu une farce. Des partis cartellisés et des carriéristes hors-sol usurpent la parole du peuple pour servir des logiques clientélistes, mondialistes et technocratiques. Il faut en finir avec la professionnalisation de la politique. Instituer la votation populaire permanente sur les sujets fondamentaux, réinstaurer une assemblée tirée au sort pour réécrire la Constitution et veiller à sa mise en œuvre.
Déconstruire l’illusion démocratique issue de 1789, cette Révolution confisquée, et retrouver nos traditions plus anciennes d’ancrage populaire : les assemblées communales, les serments d’allégeance, les référendums organiques. Ce n’est pas l’universalité abstraite qu’il faut poursuivre, mais l’enracinement vivant.
9. Le principe de souveraineté médiatique et d’interdiction de la manipulation cognitive
Référence : Noam Chomsky – La Fabrication du consentement (avec Edward S. Herman, 1988)
« La propagande est à la démocratie ce que la violence est à la dictature. »
Les médias concentrés entre les mains de quelques oligarques faussent le débat public et orientent les esprits selon les intérêts d’une minorité. Il est urgent de criminaliser la manipulation délibérée de l’opinion par dissimulation des faits, diffamation, et falsification des contextes.
Cela exige :
– une interdiction stricte de la concentration capitalistique des organes d’information ;
– une nationalisation partielle sous forme coopérative citoyenne des grands médias ;
– un modèle fondé sur la réputation factuelle, vérifiée par des méthodes scientifiques ouvertes, indépendantes, méritocratiques.
La guerre cognitive doit céder la place à une culture de la controverse saine, à l’éloge du doute, et à une transparence radicale des sources. Toute démocratie qui tolère la manipulation médiatique est déjà morte.
10. Le principe de souveraineté civilisationnelle et de reconnaissance constitutionnelle de nos fondements identitaires
Référence : Dominique Venner – Histoire et tradition des Européens (2002)
« Un peuple qui oublie ses morts et ses racines est un peuple en voie d’effacement. »
La France ne peut continuer à vivre sans mémoire.
Elle est née d’une synthèse originale entre l’héritage gallo-romain, le baptême de Clovis, l’ordre catholique médiéval et la culture humaniste.
Il faut inscrire dans notre Constitution les fondements inaliénables de notre identité collective :
– notre langue, transmise par des siècles de littérature, de débats et de luttes pour l’indépendance ;
– notre spiritualité chrétienne, fondement de notre conception du droit, du pardon, et de la dignité ;
– notre tradition de résistance aux empires, aux tyrans et aux nihilismes technocratiques.
Il ne s’agit pas d’exclure les autres, mais de ne plus s’exclure soi-même.
Ce qui implique aussi le principe de continuité de peuplement, ainsi que le principe d’homogénéité culturelle forgée au fil des millénaires. Cela n’exclut pas la diversité : mais il ne faut plus la confondre avec la submersion.
La République ne doit pas être un trou noir identitaire, mais une force d’affirmation enracinée dans la vérité historique de la France.
Pour finir, J’ajouterais en forme de synthèse qu’une démocratie qui se veut digne, forte et durable ne peut plus être fondée sur des abstractions idéologiques, des représentations vides ou des simulacres électoraux. Elle doit retrouver des piliers concrets, enracinés dans l’histoire, la morale, l’écologie humaine et la lucidité politique.
Ces dix principes (à compléter ou amender avec votre aide) forment les colonnes d’un nouvel édifice. Non pas une utopie technocratique, mais une refondation organique de notre vivre-ensemble. Il est encore temps de nous extraire du délire marchand, de l’ingénierie sociale déshumanisante et de la fragmentation identitaire.
Il est encore temps de retrouver notre souveraineté existentielle. Pour nos enfants. Pour nos morts. Pour notre avenir.
Je fais le #PIC, le Pari de l’Intelligence Collective. Pour nos enfants.
Commenter ailleurs : [Sur X]
Notre modèle social est ancien, il à évolué depuis une certaine d’années et n’a plus beaucoup de significations aujourd’hui.
La façon dont nous acquérons des biens et des services est périmé, nos villes sont dangereuses pour notre santé, chaotique et cause d’énormes pertes d’énergies et de ressources.
Nos politiciens ne savent pas comment résoudre nos problèmes. En d’autres mots, ils ne nous servent pas. Ils n’ont ni les connaissances ni les compétences ni l’expérience requis dans les domaines dont ils sont responsables.
Notre technologie avance à grand pas et elle est mal exploitée. Il est nécessaire de changer de direction et d’objectifs avec une vision alternative pour une nouvelle civilisation complètement différente de celle d’aujourd’hui et du passé.
Quand nous nous réfèrons à la soutenabilité, la durabilité. Nous ne nous réfèrons pas à la durabilité pour les banques qui nous maintiennent dans une dette perpétuelle où les entreprises et les systèmes sociaux sont orientées vers le manque dans le monde où nous vivons. Par soutenabilité nous voulons parler du bien être de tous les peuples dans un nouveau système qui les amènera vers leurs plus haut potentiels tout en protégeant et en préservant l’environnement.
Ce dont nous parlons c’est de la gestion intelligente des ressources de la terre par l’utilisation de la méthode scientifique pour organiser et gérer la société. On applique les méthodes scientifiques car l’on a prouvé que cela fonctionne. Alors pourquoi n’utiliserais t’on pas les échelles de performances pour planifier notre société, nos villes, nos systèmes de transports, notre agriculture, notre système de santé et ainsi de suite jusqu’à atteindre une approche globale du système. C’est ce dont nous avons besoin.
Si la science existe dans ce qui fonctionne, alors clairement aujourd’hui notre système social et économique n’est pas scientifique car les choses ne fonctionnent pas pour la majorité des peuples et ni pour notre environnement. Si c’était le cas, les guerres, la pauvreté, la faim, les sans-abri et la pollution ; tous ces problèmes seraient résolues depuis très longtemps.
Malheureusement notre structure sociale à évolué sans gestion globale, ni de compréhension de ce qui façonne notre comportement. Cela n’est pas considérées aujourd’hui.
Nous avons les capacités technologiques et les ressources pour nourrir, loger, habiller, éduquer et garantir à tous un système de très haute qualité sur cette terre mais notre pratique du rationnement des ressources par l’utilisation de l’argent ne nous a jamais permis de réaliser cela et ne le permettra jamais.
Alors comment peut-on commencer à résoudre nos problèmes en utilisant les méthodes du système monétaire dans lequel nous vivons tous… L’utilisation de l’argent est rarement remis en question mais rendons nous compte de l’influence qu’il exerce sur notre comportement et sur nos valeurs.
L’agent en lui-même n’a aucune valeur, c’est juste une image imprimée sur un bout de papier avec le consentement de la population et ce à quoi il donne accès. Si il pleuvait des billets de 100 euros maintenant, les gens achèteraient ce dont ils ont besoin, tout le monde serait heureux « excepter les banquiers ».
Donc examinons un peu l’argent.
L’argent n’est qu’une interférence entre ce dont vous avez besoin et ce à quoi vous avez accès.
Les gens pensent en terme de volonté de travailler afin d’obtenir l’argent pour satisfaire à leurs besoins mais en fait, si ils pensent vraiment à ce qu’ils sont en train de faire, ce n’est pas le travail ni l’argent qu’ils veulent mais l’accès aux besoins de la vie.
L’utilisation de l’argent à pour conséquence la stratification sociale et de l’élitisme.
Dans de nombreuses cultures, l’on dit au peuple qu’il est libre mais il l’est proportionnel à son pouvoir d’achat. Nos dirigeants nous disent que nous sommes libre mais si nous étions vraiment libre, ils n’auraient pas besoin de nous le dire.
Comment peut-on être libre sans pouvoir donner les meilleurs soins ou la meilleure éducation à ses enfants.
Beaucoup de lois sont passées pour le bénéfice des entreprises qui ont l’argent pour organiser des lobbies, pour corrompre et pour persuader les membres des gouvernements de faire voter des lois pour leurs propres intérêts.
Le système monétaire est basé sur un état de manque artificiel. Par exemple, on détruit parfois la nourriture pour garder les prix élevés.
Il y’a un énorme gaspillage en terme de ressources et d’énergies. Notre système social est basé sur l’achat perpétuel et nous ne sommes considéré que comme des consommateurs.
Il y a une dégradation environnementale importante qui est dû au coup des traitement des déchets. En d’autres mots, la planète est ravagée au nom du profit mais l’un des autres gaspillages en terme de vie est bien l’aspect militaire. C’est une honte que cela soit l’une des plus grande industrie dans le monde.
Le complexe militaro industriel se fait de l’argent en fournissant les deux camps opposés des frontières et ils n’ont d’autres besoin que de faire toujours plus d’argent.
Il est peu comprit à quel point nos valeurs on été formées par ce système et cette société monétaire.
Nos valeurs ont été influencées par les médias pour le bénéfice des établissements profonds qui détiennent ce différentiel monétaire. Ils influences sur les livres, les journaux, les films, les divertissements, l’éducation et cela forme notre comportement. Nous parlons ici des entreprises, de l’armée, des politiciens, de leaders religieux et des banquiers.
Ils perpétuent l’illusion que les valeurs de la société sont déterminées par le peuple du bas en utilisant des mots qui n’ont aucun sens comme Liberté, Patriotisme et Démocratie afin de conserver ce système établie par un petit groupe de personnes.
« Einstein lui-même disait que le patriotisme était une maladie ».
Ce qu’il est important de comprendre, c’est que les entreprises n’ont que comme objectif le profit et non le bien être des gens.
Avec la science et la technologie nous pouvons aujourd’hui comme jamais dans l’histoire de l’humanité surpasser très facilement tous les manques qui sont à l’origine de tous nos problèmes comme par exemple les guerres, la pauvreté, la corruption et tous les comportements aberrants.
Nous pouvons mettre en place une organisation sociétale différente que l’on appelle « l’économie basée sur les ressources » ou une « civilisation sans argent ».
Ceci est un concept très différent de ce que l’on a connu jusqu’à présent. Il n’a rien à voir avec le socialisme, le communisme, le capitalisme ou le fascisme.
Pour faire les choses simplement, nous devons utiliser les ressources plutôt que l’argent et tout le monde pourrait avoir un accès gratuit à tout ce dont ils on besoin pour vivre sans avoir recours aux crédits, à la taxation ou à une quelconque formes de dettes ou d’esclavage.
Dit autrement, toutes les ressources de la terre deviendraient l’héritage commun à tous les peuples du monde.
La vrai richesse d’une nation, ce n’est pas son argent mais plutôt ses ressources et son peuple qui travaille vers l’élimination du manque pour créer une société plus humaine, pour tous.
Si ce concept est encore un peu confut pour vous, considérez cela ; par exemple, un groupe de personnes se trouve sur une île avec de l’argent et des diamants mais c’est une île qui n’as pas de terre arable, ni de poissons, ni d’eau potable. Leurs richesses ne servirait en rien à leurs survie.
L’argent n’est pas ce dont les gens ont besoins mais c’est l’accès aux besoins de la vie qui l’est.
Les ressources doivent être utilisées directement dans la société pour améliorer la vie de tous et si nous gérons nos ressources sagement, nous pouvons produire très facilement toutes les nécessités de la vie et fournir un niveau de vie élevé pour chacun.
C’est peut-être difficile à croire mais même les personnes les plus riches d’aujourd’hui auraient un niveau de vie et un niveau de sécurité bien plus important dans ce nouveau système de société.
On enseignerais aux enfants a résoudre des problèmes au lieu de pratiquer des métiers parasites qui sont utilisés dans le système monétaire. Ces professions ne contribuent pas au bien-être du peuple comme par exemple, les publicités, les assurances, l’immobilier, le droit, les banques, les politiciens, les marches d’échanges, les ventes etc…
Pensez à ceci, quand toutes les ressources de la terre seront partagées, il n’y aura plus de besoin pour l’armée. Cette profession sauvage n’aura plus de raisons d’être et sera dépassée dans ce mode de vie.
Ces personnes sont formées pour être des machines de guerres et sont formées pour tuer mais cela ne serait-il pas merveilleux si ils étaient formés au contraire pour résoudre des problèmes et pour enseigner aux peuples à résoudre leurs différences et sans violences.
Quand les ressources de la terre seront gérées et partagées comme un héritage commun à tous, les barrières artificielles qui séparent les nations seraient obsolètes. L’invasion des pays, seulement pour voler leurs ressources deviendrait un comportement du passé.
Et c’est pourquoi il y a des invasions d’autres pays, ce n’est pas pour y apporter ni le démocratie ni la liberté mais pour s’approprier leurs ressources, une main d’oeuvre bon marché et l’accès à une situation stratégique particulière. Au lieu de se battre pour des ressources limitées, les gens travailleraient ensemble pour résoudre des problèmes qui nous sont communs comme les arrêts cardiaques, les cancers, les tsunamis, les tremblements de terre etc.
Souvenez vous que tous les nouveaux concepts ont été ridiculisés, rejetés quand ils ont été présentés pour la première fois par des experts de leurs temps. Toutes les nouvelles idées pour des améliorations sociales comme le droit des femmes, des gens de couleurs, le droit des enfants ont toujours rencontrées beaucoup de résistances.
À l’époque des frères Wright, les scientifiques très distingués publiaient des livres pour expliquer que les hommes ne pouvaient pas voler. Les frères Wright n’ont pas lus ces livres et ont créé l’avion.
Quand la science et la technologie sont libérées dans notre société pour améliorer la vie des gens, sans limitations d’argents, de brevets ou de marchés, elles peuvent facilement créer l’abondance pour tous et l’on pourrait connaître le vrai sens de la spiritualité.
On est finalement arrivé à comprendre que la plupart des criminels qui remplissent nos prisons son un résultat de vols d’argent dans une ère où les manques sont souvent le résultat du système monétaire.
Les enfants regarderont en arrière et se demanderont comment nous n’étions pas capable de voir les limites de ce système abusif et terrible.
Être civilisé c’est un processus en continue, il n’y a pas d’utopie ou de frontière finale. Toutes les choses changent y compris le système social et nous sommes dans un processus continue d’évolution social.
Nous devons commencer à utiliser l’échelle scientifique de performances et la façon dont nous conduisons nos vies. Tous les problèmes que nous avons aujourd’hui et dans le futur vont dépendre de notre façon d’utiliser la science.
Certains domaines d’activités essentiels à nos besoins vitaux ne doivent en aucuns cas être entre les mains de lobbying et rester dans le domaine public.
Le logement
Les transports en communs
La santé
L’énergie
L’alimentation
La protection de la nature et de son biotope à l’échelle globale
L’éducation
L’information
La justice
Cette énumération est à la tête des médias actuellement et ce n’est pas une coïncidence.
Des alternatives sont possible.
Notre technologie avance à grand pas et elle est mal exploitée. Il est nécessaire de changer de direction et d’objectifs avec une vision alternative pour une nouvelle civilisation complètement différente de celle d’aujourd’hui et du passé qui n’a plus aucun sens.
Nous avons les capacités technologiques et les ressources pour nourrir, loger, habiller, éduquer et garantir à tous un système de très haute qualité sur cette terre mais notre pratique du rationnement des ressources par l’utilisation de l’argent ne nous a jamais permis de réaliser cela et ne le permettra jamais.
Excellent merci pour ces principes fondateurs
J oserais ajouter :
Le principe de vivre librement dans le respect de l autre sans l altérer d aucune manière.
Emmanuel Levinas
« La relation avec autrui, c’est le respect de son altérité, c’est-à-dire de ce qui en lui est irréductible à moi. »
Cette pensée, tirée de son œuvre Totalité et Infini (1961), souligne l’importance de reconnaître l’autre dans sa singularité, sans chercher à l’assimiler ou à pénétrer son espace psychologique. Elle invite à un vivre-ensemble fondé sur l’éthique et le respect mutuel.
Personne ne devrait s arroger le droit d outrepasser son soi pour exercer un pouvoir sur l autre.
Le point 10 devrait commencer par « une démocratie qui se veut digne, forte et durable ne peut plus être fondée sur des abstractions idéologiques, des représentations vides ou des simulacres électoraux. Elle doit retrouver des piliers concrets, enracinés dans l’histoire, la morale, l’écologie humaine et la lucidité politique. » Qui est éclairant sur l’intention. N’oublions pas que si la France est ce qu’elle est, c’est que rien n’est absolument figé. Nous devons nous garder de ce réflexe normal et compréhensible de vouloir préserver ce qui fut coûte que coûte, l’évolution arrive toujours. Par contre il faut effectivement préserver la connaissance de où on vient, par où nous sommes passés et nous interroger sur où nous allons?
J’avais à la lecture de tout ceci l’envie de dire, il faut sacraliser la vie contre toute atteinte. Protéger les intérêts collectifs de la cupidité de quelques uns. C’est cette cupidité qui aujourd’hui fait le plus de tort au monde. Cupidité financière, d’orgueil, de pouvoir.
Rétablir une simplicité des rapports sociaux et institutionnels. Peu de lois, mais de bonnes lois seront toujours plus profitables à tous qu’une accumulation de codes. Ce sont les principes fondateurs qui doivent guider ces lois et leur application.
Placer le vivant au-dessus des intérêts financiers ou de pouvoir quel qu’il soit, et ce vivant comprend le groupe social auquel nous appartenons.
Voilà ma modeste contribution
Un référentiel précieux et très synthétique :
La déclaration de Fribourg sur les droits culturels, 2007
C est le résultat d un chantier international qui a duré 20 ans…D ou la consistance
Merci pour ce précieux référentiel en effet