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    En savoir plus sur le fondateur de Politoscope.fr : Frédéric Bascuñana

    En phase de (re)déploiement expérimental depuis le mois de février 2025 (alors qu’il avait déjà existé entre 2009 et 2019, date de sa fermeture), le medium Politoscope ne bénéficie pas encore d’une notoriété suffisante pour que son profil éditorial soit aisément identifiable, il est donc tout à fait légitime, et fréquent, que nos invités souhaitent en savoir plus sur son fondateur.

    Dans la logique et l’éthique de transparence qui est la nôtre, nous nous plions bien volontiers à l’exercice.

    Remarque liminaire, toutefois :

    L’empreinte du fondateur sur l’expertise et les traitements éditoriaux est limitée par le concept lui-même.

    En effet notre approche étant pluraliste, pensée pour encourager (et parfois même, imposer) le débat contradictoire, des contributeurs de tous horizons garantiront la diversité des approches. Nous vous invitons à visiter la page dédiée à notre doctrine et à nos ambitions éditoriales pour référence.

    Pour le dire autrement : nulle obligation d’être en accord avec une ligne idéologique en particulier pour faire l’objet d’une interview sur ce medium. Nous ne sommes pas à proprement parler un « média d’opinion », mais un « média où se frictionnent les opinions » – nuance. Nous défendons une vision des media tels qu’ils devraient selon nous émerger dans une démocratie délibérative authentique. Nous estimons qu’une démocratie assainie sert à mettre en scène les oppositions, les controverses, les points de divergence : de manière à ce que l’audience puisse affûter son esprit critique, prendre conscience de ses propres biais (et des nôtres, incontestables !), et opérer par elle-même une synthèse nuancée des forces en présence.

    Profil professionnel en survol :

    Frédéric Bascuñana est depuis 1996 un entrepreneur du numérique qui s’est avec le temps spécialisé dans la « création de valeur ». À savoir, tout ce qui relève de la conception d’offre et de modèles économiques, les termes consacrés étant : value design, Go-to-market, modélisation, bootstrapping[1] et tout ce qui est englobé par la discipline dite d’analyse stratégique.

    Il accompagne et enseigne aussi dans le domaine du management[2] – et a développé une offre de conseil ciblée sur le développement du leadership (leadership d’opinion : influence, engagement, évangélisation ; et leadership organisationnel : intelligence collective, décisionnel, orchestration et conduite du changement).

    C’est par ailleurs un créateur et spécialiste des médias numériques.

    Il est actuellement en train de développer avec un collectif d’indépendants : LIDTS, L’Institut des Transformations Stratégiques.

    Profil politique en survol :

    Son métier, ses conférences et ses médias numériques lui ayant ainsi permis d’être sensibilisé aux méthodes d’ingénierie sociale et de guerre cognitive : son principal combat se situe de plus en plus contre ces manipulations, au travers de ses efforts de décryptage (exemples d’interviews données : Nexus, Hypnomachie, Tocsin). C’est ainsi que convergent ses aptitudes professionnelles avec ses engagements sociétaux, au travers de la création d’un mouvement : le #PIC, le Pari de l’Intelligence Collective – qui œuvre à l’établissement de la démocratie délibérative.

    Formations éclectiques :

    Études éclectiques : prépa HEC, puis entrée à HEC (Jouy-en-Josas) – ne s’intègre pas et traverse d’importants conflits avec la Direction de l’École (par le truchement de son directeur de l’époque, Bernard Ramanantsoa) qui a tenté de lui imposer la récupération pure et simple, par l’administration de l’école, de son projet entrepreneurial (un site emploi mettant en relation toutes les grandes écoles (commerce + ingénieurs) avec les entreprises qui recrutent. Son objectif, en prétextant la loyauté que Frédéric Bascuñana devait à son école, étant de court-circuiter toutes les autres institutions académiques en imposant la centralisation, pour le recrutement, d’une base de données de CV et d’anciens dans un consortium dominé par HEC.

    « Cette scandaleuse tentative de manipulation a permis, en germe, ma véritable entrée dans le combat sociétal : la forfaiture de Bernard Ramananstoa, son acharnement à contingenter mon entreprise, pourtant indépendante, à une forme de soumission indignante, que même le plus autoritaire des actionnaires n’aurait jamais osé, et ce, du fait même de son succès auprès des 50 plus grands recruteurs français. La lâcheté du procédé ayant consisté à mettre, par un chantage ignoble, l’obtention de mon diplôme dans la balance. Tout cela m’a fait très tôt comprendre la dangerosité des bureaucraties élitistes, leur capacité à broyer les individus, et leur incapacité à appréhender les grandes transformations qu’elles prétendent pourtant encourager (ici : le développement du recrutement sur le web, alors balbutiant). C’est devenu un élément moteur de la construction de mon parcours, et une motivation à quitter la France et l’univers anéthique et feutré des baronnies issues de cette culture des Grandes Écoles. J’ai totalement renié cette institution, allant jusqu’à renoncer à ce diplôme dont j’ai honte. J’ai amèrement regretté d’avoir choisi cette voie contre l’avis de mes profs, au détriment d’un parcours littéraire qui m’attirait et me correspondait bien plus. »

    Il s’oriente vers divers parcours académiques le plus souvent inachevés, par boulimie intellectuelle : des années en philo à la Sorbonne (UFR en parallèle d’HEC puis d’activités professionnelles, 1994-95), puis l’ICP (Institut Catholique de Paris) au début des années 2010.

    Il suivra plus tard, en césure professionnelle en 2001, un cursus à la FEMIS Paris en partenariat avec la Filmakademie Baden-Württemberg pour devenir jeune producteur (ayant développé sa propre société de production audiovisuelle) – un programme initié par les États français et allemands et le programme MEDIA d’Europe Creative pour contrer le détournement des financements cinéma par les majors US en Europe.

    Il complète ce parcours avec en 2016 à Paris Descartes, un programme aménagé pour les professionnels en Théorie Cognitive Fondamentale appliquée (neurosciences qui dans son cas, nourrissaient sa réflexion et ses activités entrepreneuriales et conseil).

    Éléments de parcours ayant mené à l’initiative Politoscope

    Il a développé et revendu plusieurs startups dans le passé :

    « C’est ce qui me permet aujourd’hui de rester en prise avec l’entrepreneuriat et ses enjeux, et dans une posture professionnelle de consultant libre de ses choix : pour partager mes expériences, faire des rencontres stimulantes, disposer d’un emploi du temps compatible avec le combat militant. Se libérer de notre désaliénation collective ».

    Ce qu’il faut retenir en termes d’impact sur les initiatives Politoscope et #PIC, en dehors de ce qui sera mentionné sur le très classique profil LinkedIn[3], c’est que la pratique du conseil en stratégie pour diverses organisations permet à Frédéric Bascuñana de prendre le pouls de l’économie réelle : les analystes stratégiques ont pour réflexe de penser et modéliser la macroéconomie en systèmes et écosystèmes. Ils arbitrent les décisions en fonction de leurs implications sur le long-terme et leurs conséquences multifactorielles.

    Il s’agit ici aussi d’une forme de passion qui lui convient d’un point de vue intellectuel et d’une activité d’enseignant-formateur qui le met au contact de plusieurs générations et prismes idéologiques éclairants.

    Cette activité d’analyste stratégique, qu’il enseigne aussi[4] est à la croisée des chemins entre l’économique et le géopolitique. Son emploi du temps reste ainsi flexible, pensé pour la poursuite d’une éducation politique « qui n’a pas vocation à s’arrêter un jour ; le jour où vous considérez votre éducation politique achevée, outre le manque de modestie que cela dénote, vous commencez à avoir plusieurs wagons de retard et n’êtes plus capable de changer d’avis ».

    Expérience aux États-Unis et écosystème numérique

    Il a vécu 10 ans aux US, principalement à Boston (1999-2009) après la revente de sa première société (startup, site de recrutement), étant alors encore étudiant à HEC, à un groupe coté au Nasdaq (TMP Worldwide, l’éditeur des Yellow Pages US).

    Il est ainsi resté un référent dans l’écosystème numérique[5].

    C’est en rentrant en France en 2009 qu’il commence à créer divers media numériques, principalement orientés autour d’une offre de plateforme collaborative (un réseau social privatif) développée avec les entreprises, et un studio vidéo où plus de 4300 talkshows ont été produits, sur des sujets professionnels concernant les organisations[6].

    C’est aussi dans le cadre de ce studio d’enregistrement qu’il a créé en 2009 la première version de Politoscope, alors baptisée « Politoscope.tv » (en raison de la prédominance des contenus vidéo). Dans ce contexte, de nombreuses rencontres ont eu lieu avec des responsables politiques de tous bords. Le studio a été fermé en 2016.

    « L’un de mes tous premiers engagements sur Politoscope.tv portait sur la Neutralité du Net (depuis bien malmenée). Nous avons porté ce sujet sur une longue période avec Hervé Morin (alors Ministre de la Défense), et Nathalie Kosciusko-Morizet (alors secrétaire d’État à l’économie numérique) : nous nous sommes très naïvement fait balader. Premier contact décevant avec les démagogues professionnels, qui ont vite trahi ce combat pourtant vital (pour notre démocratie et notre souveraineté) qu’ils prétendaient porter. »

    Découverte des cyber guerres informationnelles et ingénieries sociales

    De fil en aiguille, après des centaines de talks au format WebTV, il intervient souvent de manière informelle (sur X) et formelle (conférences, interviews, recherche) sur le thème des manipulations de l’opinion, des guerres informationnelles (guerres cognitives) et ingénieries sociales.

    Frédéric Bascuñana a contracté en 2009 une licence d’exploitation du site web readwrite.com pour la France (en compagnie de son initiateur et rédac-chef, Fabrice Epelboin). Le site dénonçait principalement les atteintes à la neutralité du Net, les systèmes de surveillance et de guerre informationnelle exploitant les leviers du numérique, son influence était considérable sur les questions numériques. Le Printemps Arabe a aussi été l’occasion de dénoncer les techniques d’Infowar, en avant-garde des médias mainstream. En dépit ou peut-être à cause de son importante audience, le site web a été racheté via sa maison-mère, auprès de ses fondateurs, par un mystérieux fonds d’investissement. Une des conditions de son rachat fut sa fermeture exclusivement dans sa version française : en dépit de son exceptionnelle audience, et de ses nombreuses récompenses.

    Entre Politoscope.tv et ReadWrite, nous avons pu saisir, dans notre chair, tous les sacrifices, toutes les manipulations, toute les formes d’intimidations impliqués par la gestion d’un medium indépendant – et l’extrême fragilité de notre liberté d’expression. Cela nous aussi permis de rencontrer de nombreuses personnalités politiques et d’appréhender les agendas scénarisés par leurs spin doctors. Ce contre quoi nous n’avons jamais cessé de nous battre. Les ingénieries sociales sont le poison de nos démocraties.

    Frédéric Bascuñana s’efforce depuis peu de témoigner de son expérience et de ses connaissances de ces techniques manipulatoires dans tous les media alternatifs (exemples[7]).

    Éveil politique et Gilets Jaunes

    Frédéric Bascuñana considère devoir son premier « éveil » politique à la période post référendum de 2005, selon lui grossièrement volé aux français.

    « J’ai alors commencé à inviter dès 2009 sur Politoscope.tv Etienne Chouard, qui a largement contribué à ce que je réalise l’ampleur de la manipulation. Et c’est cela, qui m’a poussé à persévérer dans ma tentative de décryptage des techniques d’influence. »

    À l’époque des Gilets Jaunes il fait partie de l’entourage proche d’Etienne Chouard et vit très mal le sabotage de sa notoriété lorsqu’en juin 2019 une interview biaisée sert à la présenter comme un « confusionniste »[8].

    « J’ai complètement perdu foi en la nature humaine ! Je ne sais pas ce qui se passe dans la tête d’Etienne, mais cette accusation qui relève plus de la diffamation ne correspond absolument pas à la personne que je connais. Il a vainement tenté de rétablir la vérité sur Sud Radio dès le lendemain : cela n’a pas suffi. Je pense que c’est à ce moment-là que le Pouvoir en place a réussi à discréditer définitivement les Gilets Jaunes, ou du moins la dynamique structurante qu’Etienne et son entourage étaient capable d’insuffler ».

    En 2021, Alexandre Langlois est choisi par le courant historique des Gilets Jaunes pour se présenter à la présidentielle.

    Frédéric Bascuñana se voit proposer d’en être le directeur de campagne, ce qu’il accepte (à titre bénévole).

    En raison de diverses tensions internes, dans un imbroglio partisan, il se voit offrir par le comité de direction informel du mouvement, d’être candidat à la présidentielle à la place d’Alexandre Langlois. Porteur de convictions autour des modalités de l’intelligence collective, convictions qu’il ne sera pas en mesure de mettre en application, et surtout, soucieux de préserver l’intégrité du mouvement déjà affaibli par l’ostracisme médiatique orchestré autour d’Etienne Chouard, il préfère alors rester dans l’anonymat et décline cette possibilité.

    N’ayant, quoiqu’il en soit, pas pu trouver les 500 signatures, Alexandre Langlois n’ira pas au bout de sa candidature.

    Frédéric Bascuñana décide alors de soutenir la candidature d’Éric Zemmour, dans le seul but de soutenir, en dépit des critiques acerbes et des coutumières diffamations fascisantes, celui qui ose ouvrir la fenêtre d’Overton d’une remise en question systématique de la doctrine immigrationniste, de l’idéologie diversitaire et de l’islamisation. Il est en effet convaincu que la submersion migratoire[9] et la doxa en vigueur sont des ingénieries sociales visant à émasculer un peuple pour le fondre dans l’Empire fédéral.

    « Je ne pouvais toutefois pas soutenir le parti Reconquête au-delà de cette campagne qui fut toutefois très instructive. Je ne peux même plus considérer d’offre politique en l’état de nos institutions – ni de candidat issu de ce qu’on appelle aujourd’hui le « système ». Identité et souveraineté sont un seul et même combat, et je ne peux pas les concevoir en dehors d’un objectif de Frexit pur et simple, ni sans l’établissement d’une démocratie délibérative passant notamment par la suppression des partis. »

    Le #PIC, le Pari de l’Intelligence Collective

    C’est ainsi qu’est annoncée, après 3 années à développer en « espaces audio » (les « Spaces Agora » sur X[10]) des débats et masterclass politiques, en 2024, la naissance du #PIC.

    Cette annonce a lieu au moment de la publication d’une vidéo « coup de gueule » qui a été reprise de nombreuses fois sur diverses plateformes au point de dépasser les 25 millions de vues en cumul. Frédéric Bascuñana assume dans cette diatribe son rejet subversif des caciques du régime mondialiste.

    PIC, le Pari de l’Intelligence Collective
    Association déclarée (09/07/2024, ici) : n° RNA : W061017282
    Contacts : https://www.pic.contact  email : contact [at] pic [point] contact
    n° SIREN 931405567 – n° Siret (siège) 93140556700013
    Code APE : 94.92Z – Activités des organisations politiques

    Le PIC, le Pari de l’Intelligence Collective, est un mouvement politique unitaire qui concourt à développer, promouvoir et diffuser une action citoyenne dont le projet, soumis à l’expression du suffrage universel, consiste à proposer une refonte institutionnelle et constitutionnelle permettant à l’avenir aux citoyens de voter d’abord pour les idées et les programmes, et non plus pour les candidats, et l’élaboration des voies d’une gouvernance démocratique sur le territoire national ; ainsi que tous objets similaires, connexes ou complémentaires ou susceptibles d’en favoriser la réalisation ou le développement.

    « Si je devais résumer l’essence du #PIC en mots simples, je dirais qu’il ne faut plus se réunir en dépit de nos divergences, mais EN RAISON de nos divergences. Nos oppositions sont instrumentalisées comme autant de passions tristes, et le récit médiatique nous dépossède de tout esprit critique. Nous devrons bien un jour ou l’autre, trouver le moyen de faire dialectiser nos idées sans devoir se borner à chroniquer les frasques et les trahisons de nos représentants corrompus. La politique sera toujours brutale, et c’est pour cette raison qu’il nous faut pouvoir exprimer nos convictions, nos bonnes idées, en réinventant les modalités du consensus.

    Il s’agit en effet de redéfinir le cadre d’une démocratie authentique et agonistique dans laquelle nous pourrons reprendre nos controverses… En ayant préalablement circonscrit le périmètre de l’État de Droit, explicité ce que nous entendons par « Volonté Générale », contingenté l’influence de la médiacratie et réécrit notre Constitution. »

    Le Gouv – retour du Shadow Cabinet émanant des Gilets Jaunes

    En Janvier 2025, les porteurs de l’initiative intitulée Le Gouv[11] (qui a aussi émergé pendant la période des Gilets Jaunes), incarné notamment par Fabrice Grimal, en passent les rênes à Frédéric Bascuñana, pour ne pas que soit perdu le précieux travail des 20 commissions citoyennes qui ont établi les bases indicatives d’un programme.

    « Le #PIC n’a pas pour vocation d’imposer un programme : mais des pistes de réflexion pour que les citoyens deviennent adultes au sens démocratique du terme et puissent en débattre (quitte à tout reprendre à zéro : ce n’est qu’une pâte à modeler). Le Gouv n’est donc pas notre programme : nous voulions juste que ses travaux ne soient pas enterrés ; c’est surtout la démarche collaborative qui a selon nous une valeur de témoignage historique, c’est pourquoi nous sommes heureux de préserver son site web et ses réalisations ».

    Le site web du PIC et son plan d’action, au moment où sont écrites ces lignes, sont en cours de conception collective. L’association dont les statuts ont été déposés en avril 2024, a dû batailler pour obtenir un simple compte en banque… Après intercession de la Banque de France et de nombreux allers-retours, c’est seulement le 4 février 2025 qu’un compte est enfin obtenu.

    « C’est dire si tout est mis en œuvre pour compliquer la tâche de toutes initiatives citoyennes – et l’une de nos priorités consistera à promouvoir et désaliéner la créativité démocratique pour que puissent s’exprimer tous les primes idéologiques. »

    Pluralisme et dialectique avant tout

    C’est donc dans ce contexte qu’émerge Politoscope.fr : parce qu’il s’agit non pas d’imposer un prisme unique, mais de démontrer une certaine exemplarité dans la promotion du débat citoyen et démocratique.

    Politoscope.fr n’est donc pas en soi une émanation du #PIC, ni d’un quelconque autre objectif partisan, mais un alibi structurant pour engager la conversation, assumer la discussion dans ce qu’on appelait jadis la « disputatio » : c’est pourquoi Space Agora sur X (espaces audio propices à l’iségorie pédagogique et l’exploration du champ lexical constituant), et la chaîne YouTube de Politoscope[12] seront des canaux privilégiés pour développer cette doctrine collaborative et dialectique.

    Références / notes :

    1. Exemple de support pédagogique, ici sur LinkedIn Learning :
      Réussir sa start-up
      https://www.linkedin.com/learning/reussir-sa-start-up/
    2. Exemple, une introduction aux problématiques du management, ici sur LinkedIn Learning :
      Animer et motiver l’équipe au quotidien
      https://www.linkedin.com/learning/animer-et-motiver-l-equipe-au-quotidien
    3. Sur LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/fredericbascunana/
    4. Formations d’introduction à l’analyse stratégique sur LinkedIn Learning :Les fondements de l’analyse stratégique d’entreprise

      https://www.linkedin.com/learning/les-fondements-de-l-analyse-strategique-d-entreprise/

    5. Présent dans le guide du Top 100 des acteurs du numérique (Numerikissimo 2024 ayant été préfacé par M. Louis Pouzin. https://numerikissimo.fr/).
    6. On peut consulter des archives partielles ici : https://cafeine.tv
    7. Exemples d’interventions sur les ingénieries sociales :Considérations sur les méthodes de manipulation de masse (sur la chaîne Hypnomachie) : liens sur X ; lien sur YouTube.

      Interview dans le magazine Nexus : extrait diffusé sur X ; article en PDF.

      Interview sur Tocsin : matinale du 25 oct. 2024.

    8. France Info : « L’enseignant controversé Etienne Chouard écarté de Sud Radio après avoir exprimé ses doutes sur l’existence des chambres à gaz ».Lors d’une interview début juin sur le site Le Média, Etienne Chouard avait souligné qu’il ne pouvait pas s’exprimer sur l’existence ou non des chambres à gaz, n’ayant « jamais rien lu » sur le sujet. 

      https://www.francetvinfo.fr/economie/medias/l-enseignant-controverse-etienne-chouard-ecarte-de-sud-radio-apres-ses-propos-sur-les-chambres-a-gaz_3499349.html

    9. Voir la vidéo : « Refuser de regarder en face les conséquences et implications néfastes de l’idéologie immigrationniste : c’est cela, le véritable racisme. Et à tout le moins : l’irresponsabilité coupable. »
    10. https://x.com/space_agora : @Space_Agora (sur X) est un format propice à l’intelligence collective – créé par Politoscope. Pour des raisons pratiques, ce compte ne suit que ses principaux invités.
    11. Le Gouv : https://legouv.fr/qui-sommes-nous/ « Puisant dans la tradition anglaise du shadow cabinet, ce « gouvernement à but non lucratif » a pour objectif de faire émerger une alternative politique équilibrée et représentative des attentes d’une majorité des Français qui ne disposent d’aucune véritable représentation politique. Le Gouv souhaite démontrer par l’exemple ce que propose un cabinet qui constitué d’une élite véritable d’hommes et de femmes soucieux de leur population et compétents dans leurs domaines, avec le bien commun comme unique feuille de route et les cahiers de doléances populaires à leur disposition comme base de travail. » – Échantillon de revue de presse : Front Populaire ; Marianne ; Le Point.
    12. Sur YouTube : https://www.youtube.com/@politoscopeTV

    Dernière mise à jour : [jeudi 13 février 2025]

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