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    L’imposture permanente – Destituer Macron est désormais une urgence vitale

    Avec cet homme, les mots sont vidés de toute substance. L’imposture est permanente. Son emprise répond à tous les critères de l’emprise perverse sur un peuple qu’il s’échine à traumatiser : il est devenu une menace pour le pays et ses occupants.

    L’enfumage rhétorique est son système de communication

    Cette vidéo mettant en scène l’histrion devrait à elle seule une bonne fois pour toutes faire comprendre aux français que ce système permet à n’importe quel menteur compulsif d’être élu, du moment qu’il dit à un moment donné ce que vous voulez entendre.

    Ici l’incohérence est si excessive que nous ne ferons pas l’insulte au lecteur de la détailler : depuis cette interview vertueuses, 1300 milliards de dettes ont enfoncé la nation française.

    Nous sommes condamnés à chroniquer, analyser, déplorer les trahisons.

    Pourquoi ?

    Parce que nous élisons des tartuffes,

    Au lieu d’avoir le courage de reprendre notre souveraineté et de VOTER pour des mesures, des idées, des programmes.

    En réécoutant ici même cet extrait de la petite poupée élyséenne qui endort les médias, les plus lucides vont s’étrangler de rage ou rouvrir leurs ulcères : mais ça ne sert à RIEN de s’emporter contre lui. Rien.

    Parce que c’est un système complet qu’il faut refondre

    Ce misérable cabotin n’est que l’effet de bord ultime, l’aboutissement logique, inévitable, d’un système dont il est enfin nécessaire de comprendre qu’il est dysfonctionnel.

    Il vous manque des preuves pour vous en convaincre ?

    Son allocution du 5 mars 2025 sera historique en ce sens tant elle est spectaculairement, ubuesquement déconnectée du réel.

    Que fait-il ? – Il s’échine à créer un climat de guerre destiné à nous empêcher de penser.

    Rappel : La loi de programmation militaire permet à Macron d’envoyer les civils français en guerre ou à les emprisonner pendant 5 ans et 500.000€ d’amende s’ils refusent.

    Vous commencez à comprendre ?

    Oblitérer toute possibilité d’intelligence collective : en insufflant un vent de panique

    L’homoncule joue donc avec nos nerfs et le feu de la guerre nucléaire dans une tentative désespérée pour maintenir son emprise par le coup d’émoi permanent. Ce processus accélérationniste décèle un vent de panique et il achève de ridiculiser la France et ses élites (il suffit juste de lire la déclaration du ministère des affaires étrangères de Russie en réaction aux propos de Macron – pour prendre la mesure du grotesque).

    L’intelligence collective qui pourrait démettre le tyranneau, processus complexe, ne va de soi et nécessite qu’on la favorise, qu’on l’entretienne, qu’on sache la catalyser. Pour faire simple : entendez par là une forme de coalition, de transcendance collective fondée sur le rejet de nos imposteurs au pouvoir, qui puisse enfin verticaliser le combat et faire basculer le régime.

    Or son grand retour involutionnaire est possible : il est la condition pour contingenter à terme l’hystérie des partis soumis aux ordres et dépendant du récit médiatique qui conditionne leur notoriété dans un chantage qui ne dit pas son nom. Cet écosystème de l’entre-soi peut tomber : et il doit tomber maintenant qu’il nous place globalement sous stress vital.

    La tentation révolutionnaire

    Il est toutefois fort possible que cette intelligence collective populaire et subversive fasse un retour chaotique par la voie inverse : la voie révolutionnaire – tant l’exaspération monte (retour des Gilets Jaunes, Juan Branco etc.).

    Certains pensent d’ailleurs qu’agiter le spectre de la guerre totale est peut-être, en soi, un moyen pour la macronie de reculer l’échéance qu’il redoute et dont ils percevraient l’imminence.

    Nous pensons qu’il encore temps d’explorer la voie pacifique.

    Combiner le #PIC (le Pari de l’Intelligence Collective) avec le retour d’un Roi garant de l’unité nationale, de notre souveraineté, de notre identité, de notre mémoire, de nos racines religieuses : voilà qui permettrait d’oblitérer, une bonne fois pour toutes, ces jeux politiciens et autres concurrences picrocholines qui minent toute possibilité de démocratie tout en faisant croire qu’il ne s’agit là que de la seule et unique possible forme de gouvernance. Diverses études démontrent que déjà, plus d’un tiers des français ne seraient pas contre le retour d’un Roi garant de nos institutions et affranchi des contraintes de la séduction médiatique.

    Il n’existe guère de moyen plus radical pour en finir avec la valse de ces partis toxiques qui ne fabriquent que deux obsessions : conquérir le pouvoir, et le conserver à la prochaine élection. Chaque chef de fil est alors construit comme une customisation médiatique : on l’a bien vu avec le « récit » maîtrisé autour du couple présidentiel, mis en scène par des mercenaires de l’influence.

    De là les abus de cette théâtrocratie républicaine

    Contrairement à un mensonge dont nous avons tous été abreuvés, la République n’est pas démocratique et ne l’a jamais été. Et elle n’est plus au service (si tant est qu’elle l’ait jamais été) des intérêts des français. Elle ne sert qu’à protéger l’entre-soi d’une caste de millionnaires et leurs privilèges.

    Elle fabrique ce genre de crapule narcissique parce qu’elle est foncièrement corruptible. Il n’y eut qu’un seul De Gaulle et il n’y aura pas d’autre moine-soldat de cette envergure avant longtemps – probablement jamais.

    Républicains malgré nous

    Ce que les « républicains » que nous sommes malgré nous, imprégnés des discours propagandistes du régime depuis l’enfance, avons tous oublié :

    C’est que pendant les 1500 ans qui firent la grandeur dont nous avons hérité, les corps intermédiaires du régime monarchique avaient parfaitement dessiné les contours d’une démocratie directe localiste : et ça fonctionnait.

    Les banquiers ont fomenté ce régime qui ne sert qu’à nous soumettre.

    Les corps intermédiaires étaient alors les garde-fous d’une démocratie directe, localiste et efficiente

    Nous devons retrouver les corps intermédiaires d’antan (c’est le #PIC : il a déjà fait ses preuves), et ne plus laisser la moindre possibilité que des séducteurs psychopathes puissent prendre un tel niveau de pouvoir et nous enfumer pendant 10 ans.

    Ce monarque d’opérette est infiniment plus dangereux que ne le serait un régime monarchique légitimement restauré.

    Et il le prouve chaque jour : il est une menace pour son propre peuple, et son entourage de fumistes ne sert qu’à aggraver les choses.

    ⚜️

    Commenter ailleurs : [Sur X]

    Frédéric Bascuñana
    Frédéric Bascuñanahttps://politoscope.fr
    Entrepreneur, citoyen engagé. J’observe avec tristesse mon pays perdre son honneur sous les exactions d’une caste cynique. Retrouvons notre dignité collective.

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    1 COMMENTAIRE

    1. Une troisième voie, peut-être…:
      renoncer au pouvoir de contrôle SUR les gens… et passer au pouvoir de faire AVEC les gens, librement…
      Bref passer de la négation de l’altérité au respect de l’altérité.
      Pour cela, je ne vois qu’une solution: sortir du mythe étatique mortifère!
      Ce mythe n’a « que » 5000 ans environ si j’écoute l’anthropologue américain James C. Scott dans « Homo domesticus, une histoire profonde des premiers États ». Si on met ces 5000 ans de domination étatique, finalement c’est peu de chose en regard de l’histoire de l’Humanité, non?
      En effet selon certains chercheurs le premier « humain », Toumaï, serait apparu il y a environ 7 millions d’années!!!
      Même en prenant « l’Homo habilis » cela nous donne tout de même dans les 2,8 millions d’années, excusé du peu!
      Bref, le mythe étatique est, somme toute, « très récent », dans « ce » narratif de notre Histoire…
      Ma question, alors, est :
      « Pourquoi les humains se cramponnent-ils désespérément à ce mythe violent, liberticide, coercitif ET CRIMINEL? »
      De la part de la plupart de mes contemporains qui sont biberonnés à la « propagande étatique » depuis leur plus jeune âge et qui n’ont pas le « temps » ou le désir de s’interroger sur cette question, je peux le comprendre, étant moi-même passé par cette trop longue période!
      Jusqu’à ma rencontre avec une personne qui m’ouvre les yeux sur l’absurdité de la « démocratie », je parle de la « vraie », celle défendue, par exemple, par mon grand ami Étienne Chouard.
      Étienne qui a commencé à « m’éveiller » à l’absurdité, à juste titre (!), de l’élection!
      Mais il aura fallu que je lise un post de Samuel Manier sur le groupe fb des « gentils virus », pour comprendre instantanément l’absurdité, pour être gentil…, de la « démocratie » défendu par Étienne.
      (C’est me même Samuel qui m’a mis en contact avec Bascar d’Hypnomachie, dont je vous encourage très vivement à consulter le site. C’est un véritable outil de « dés-hypnose » face à toutes les « propagandes » que les États cherchent par tous les moyens, les plus vicieux: « c’est pour protéger ta grand-mère », à nous faire avaler. Et des couleuvres étatiques nous en avons « mal » digéré, pour ma part, un paquet et ce, depuis la naissance des premiers États. Il serait grand temps d’y mettre définitivement un terme pour la sauvegarde de l’Humanité si tant est que cela vous préoccupe…, ou, pour le moins, pour vivre en PAIX!!!)
      Donc que le citoyen « moyen », ne prenne pas le temps de se poser la question, je le comprends aisément. En revanche que des « intellectuels » et/ou des « philosophes », ne se la posent pas, voir, pour certains, refusent obstinément de se la poser ou de s’y confronter, j’avoue ne pas comprendre… A moins que ce soit pour préserver leur « gagne-pain » qu’il soit d’ordre financier, idéologique ou médiatique, allez savoir… Cela pourrait également être de la peur?… Peur de voir tout ce sur quoi repose leur vie, ce fameux « mythe de l’État », s’effondrer d’un seul coup et être confronté, soudainement, à « l’inconnu » du bonheur d’une vie sans État!…
      Il me semble que l’Humanité en soit encore au stade « adolescent » dans le meilleur des cas et qu’ « Elle » ait besoin d’un « papa-état » pour les « droitistes » ou d’une « maman-état » pour les « gauchistes » repris de Bascar 😉 ) qui lui dicte sa conduite quotidienne?…
      Ce qui me surprend c’est qu’elle ait su s’en passer pendant des millions d’années!
      Que s’est-il passé pour en être en arriver à cette « régression »???
      Peu importe en fait. L’important est d’en sortir maintenant!
      Il est grand temps de grandir et de sortir des « jupons »… de « papa-État », oui le wokisme est passé par là!!!
      Soyons enfin des adultes RESPONSABLES!
      Arrêtons d’être infantilisé par ce mythe absurde qui nous mène à la perte de notre « Humanité »…
      Et j’inclus bien un État qui serait dit démocratique. Car TOUTE forme étatique a BESOIN de la VIOLENCE (police-armée) pour imposer « SA » Loi. Dans une démocratie, ce serait les « 50% + 1 » qui auront BESOIN de la VIOLENCE LÉGALE pour pouvoir imposer « LEUR » Loi au « 50% – 1″restant…
      Est-ce cela dont vous voulez vraiment?
      Cela n’a ABSOLUMENT RIEN à voir avec une société pacifiée.
      La VIOLENCE LÉGALE (ne pas confondre « légale » avec « légitime », svp!) ou pas, n’a rien à voir avec la PAIX.
      Comment peut-on accepter qu’une personne OU un groupe puisse IMPOSER par la FORCE « SA » volonté au reste de la société????
      L’État ne peut fonctionner qu’avec la violence « légale ». Cette violence ontologique est basée sur le schéma de la « punition-récompense ».
      Ce sont les « LOIS ».
      Les lois sont des « exigences », des obligations et des interdictions aux quelles les citoyens sont obligés de se conformer sous peine de punition. Et cela fonctionnera de la même manière dans un État qui serait « démocratique ».
      Une demande n’est pas une exigence. Nul n’est obligé de répondre « oui » à une demande. Or la Loi est une « exigence » à laquelle tu dois te conformer sous « peine » de punition, plus ou moins violente selon le degré de ton refus de te plier à cette « exigence » étatique, la « loi », qui peut, dans certains cas extrême de refus d’obéir, conduire à la mort…
      Est-il possible, dans ses conditions, d’intégrer les concepts de la CNV avec une vision « étatique », y compris « démocratique »?
      https://youtu.be/nEBjr1N-Coc?si=gDXfMdbP0afJySlg
      « Punition » – Marshall Rosenberg
      Dans la démocratie ce sera une partie de la population qui décidera pour l’autre partie ce qu’elle aura droit, ou pas, de faire sous réserve d’être punie au moyen de la force armée en cas de « désobéissance »…
      Ne pas confondre « loi » et « règle ».
      La loi est une « exigence » suivant les concepts de la CNV, une obligation incontournable sous peine de punition à la quelle tu ne peux échapper, comme nous venons de le voir.
      La règle ne t’oblige en rien. Je pourrai dire qu’il s’agit d’une « demande » à laquelle tu es libre d’adhérer ou non! Tu peux refuser d’appliquer la règle et sortir librement du « jeu » sans subir de punition ou de coercition de qui que ce soit. La « simple » conséquence sera de ne plus pouvoir participer au « jeu »…, d’un collectif. Et il y a une multitude de collectifs possibles. A chacun de choisir ceux auxquels il veut participer librement en fonction de ses propres appétences et non en fonction de celles que lui dictent la « force publique » via les lois, y compris dans une vraie « démocratie »!
      A chacun de peser les avantages et inconvénients et d’appliquer librement la règle.
      Exemple chacun doit être libre d’accepter les règles du collectif « sécurité sociale »: cotisations contre soins. Si j’en refuse la règle, payer une cotisation pour accéder à des soins, je ne peux « exiger » les soins aux quels j’ai « droit » via ma cotisation si je refuse de la payer. C’est être responsable de « SA » vie. Et il peut y avoir une multitude de « sécurité sociale »! A chacun d’en choisir une…, ou pas!
      Ayons le courage de sortir du cadre de pensée « étatique », y compris démocratique!
      Encourageons chacun à devenir adulte, responsable de sa propre vie sans compter éternellement sur un « papa-État » qui pallie toutes nos insuffisances en volant l’argent d’autrui…
      Cela passe par l’éducation.
      A commencer par l’apprentissage de la non-violence, le respect de l’intégrité physique de chacun, apprendre qui l’on « Est », afin de passer du « je » au « jeu » festif du « nous »!
      Je pense que nous devons réfléchir très sérieusement à d’autres formes d’organisations sociales, respectueuses des besoins de chacun…
      Quand penses-tu Étienne?…
      Et vous qui me lisez, qu’en pensez-vous?

      PS:
      https://youtu.be/fl-65RPE41Y?si=vAbM_JCiv-JZtq3v
      Le langage « chacal » à la base du fonctionnement étatique…
      Il serait apparu il y a 5000 ans…
      Ça ne vous dit rien ?…
      Serait-ce une « coïncidence » que les premiers « États » soient apparus à ce moment ?…

      Tous les États sont des prisons.
      Donc quand on veut sortir d’une prison c’est OBLIGATOIREMENT pour échouer dans une autre.
      Il est impossible de faire autrement à l’heure actuelle.
      Pour reprendre la métaphore très régulièrement utilisée par Étienne, que je vais « juste » élargir…:
      « Le seul « choix » que l’on ait, c’est de « choisir » une prison dont le règlement intérieur, la « constitution « ^^ quand elle existe…, soit le moins liberticide, coercitif, violent…, bref, le moins pire à nos yeux… »!
      Se contenter de vouloir seulement modifier le règlement intérieur de la prison, ne nous rendra pas notre liberté pour autant.
      Dans le cas d’un règlement intérieur « démocratique », la seule différence sera sur le nombre de personnes qui auront rédigé le règlement intérieur et qui contrôleront les « récalcitrants » au sein de la prison étatique démocratique et les différentes modalités de coercition, répression…
      Rien de très réjouissant…
      Les punitions seront TOUJOURS présentes, et TOUJOURS assénées avec la même VIOLENCE policière…
      Car sans Force Armée pour faire respecter les injonctions « démocratiques », point d’État démocratique!
      Et la devise étatique restera toujours la même y compris dans un État « démocratique », ne t’en déplaise Étienne:
      « Obéir ou périr »…

      TOUT système étatique ne survit que grâce au contrôle de « ses » esclaves, dits « citoyens » pour faire passer la pilule…., consentants pour la plupart…
      Ce contrôle s’exerce au moyen d’une bureaucratie-policière docile à « l’autorité »… (cf. « Milgram »)
      Le contrôle vaut mieux que la Liberté, qui demande d’être responsable de SA vie, pour la « majorité »…
      Cette « Majorité » qui « contraint », par la violence armée, la minorité à lui obéir… par « peur » de la Liberté d’autrui…
      Où est la non-violence dans ce processus?…
      Et même une véritable démocratie n’échappera pas à cette « règle »…
      Alors, quand j’entends cette volonté farouche de vouloir contrôler à tout prix les représentants tirés au sort, cela démontre simplement, pour moi, l’inanité et la violence d’un tel système dès le départ.
      Car le pouvoir sera toujours aux mains des contrôleurs…, qui seront contrôlés par qui?
      Ainsi en va-t-il comme « des tortues jusqu’en bas! »…

      Bref, la démocratie sous des apparences très trompeuses, qui se drape dans une pseudo-vertu du « peuple », ne dérogera pas à la règle de la violence propre à tout système étatique…
      Après l’échec de 200 ans d’État démocratique à Athènes, et de plusieurs siècles d’Etats monarchiques et autres, puis des derniers 200 ans d’États plus ou moins « électifs » qu’attendons-nous pour réfléchir au point commun de ces innombrables échecs?
      J’en vois un: « l’État » qui est commun à toutes ces formes de gouvernances qui fonctionnent TOUTES sur « l’exigence » d’obéir!
      Je me répète !:
      Je pense que nous devons réfléchir très sérieusement à d’autres formes d’organisations sociales, respectueuses des besoins de chacun…

      L’autoritarisme procède d’une « vide de soi ».
      L’autorité procède, elle, d’un « plein du Soi ».
      La première est extérieure, artificielle, violente et a besoin de la force armée pour s’appliquer car elle est basée sur la peur qui conduit à une relation « tordue » entre les humains.
      La seconde est intérieure, naturelle, paisible et n’utilise que l’Amour, car elle est basée sur une relation « droite », saine, de confiance mutuelle dans le respect de l’altérité.

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