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    Considérations sur les méthodes de manipulation de masse.

    Mon échange avec l’excellent Bascar de la chaîne Hypnomachie.

    SVP pensez bien à vous abonner à la chaîne Hypnomachie – le créateur en a besoin pour optimiser la diffusion de ses contenus (ça reste une nécessité que d’évangéliser partout où c’est possible, et Bascar fait un travail formidable et précieux).

    Je vous mets par ailleurs ci-dessous dans les commentaires une sorte de thread généré par l’IA et un peu amélioré (rapidement) par mes soins, pour ceux qui préfèrent lire : ça reste un résumé très imparfait mais utile en survol pour savoir de quoi nous avons parlé.

    1. Début dans l’entrepreneuriat numérique

    J’ai commencé ma carrière alors que j’étais encore étudiant, créant des entreprises dans le domaine numérique, un univers en pleine ébullition au début des années 2000. Revendre ma première start-up à un groupe américain m’a conduit aux États-Unis pour une décennie. Là-bas, ma curiosité pour l’impact de la technologie a évolué vers un intérêt pour l’infowar, ou guerre informationnelle. J’ai même financé des sites dédiés à cette thématique, participant à débunker des opérations d’influence, et en créer d’autres en riposte, en lien avec le gouvernement français de l’époque, notamment avec des figures comme Hervé Morin et Nathalie Kosciusko-Morizet : tout ça s’est présenté de manière éthique et séduisante au début. Mais est-ce que cette collaboration n’avait pas aussi un goût amer de manipulation de l’information ? C’est ce que j’ai commencé à soupçonner.

    2.L’idéalisme des débuts et l’utopie numérique

    Au début, mes convictions étaient idéalistes. Je voyais l’influence comme une forme noble d’ergonomie de l’information, qui permettrait aux gens de faire des choix éclairés. Nous, pionniers du numérique, étions persuadés de bâtir un écosystème éthique. Mais cet enthousiasme a vite rencontré la dure réalité : les illusions s’évanouissent. Facebook, YouTube, etc. – c’était au tout début l’innocence des clics naïfs, la croyance en un Internet apolitique. Pourtant, les forces en jeu étaient déjà bien plus sournoises. N’est-ce pas naïf de croire que la technologie pourrait échapper à l’influence politique ?

    3. Le combat pour la neutralité du Net

    Mes premières batailles, c’était la défense de la neutralité du Net. J’ai assisté à la mobilisation d’activistes prêts à se battre pour cet idéal, même si l’enjeu était complexe. Ce combat pour l’égalité d’accès aux informations reste vital. Mais paradoxalement, ce qui nous animait s’est transformé avec le temps. Le nudging, cette stratégie douce pour inciter des comportements sans manipuler les choix (pensait-on alors), incarnait notre déontologie : j’y croyais vraiment. Nous voulions éclairer sans influencer de manière cachée. Pourtant, l’histoire prouve que les bonnes intentions peuvent être perverties. Aujourd’hui, le nudging se mêle souvent à des stratégies plus sombres. Peut-on vraiment garantir la transparence en influençant inconsciemment ?

    4. Du nudging au captage psychologique

    Le basculement s’est fait vers des méthodes plus agressives, comme la captologie, ou l’art de captiver l’attention pour mieux vendre. L’économie psychique en a pris un coup. La manipulation de l’épuisement mental est devenue courante, et l’exemple du « carpet bombing » psychique, où l’on use les gens à coup de peur constante, en dit long. Je critique vivement ces techniques, comme celles utilisées par les stratèges euromondialistes, qui maîtrisent l’art d’induire l’anxiété sociétale. Est-ce un hasard si, après les attentats de Charlie Hebdo, des lois de surveillance prêtes depuis longtemps ont été subitement mises en place ? Cela soulève des questions troublantes sur la gouvernance numérique.

    5. Désillusion et trahisons politiques

    À cette époque, je travaillais avec des politiques. Mon studio WebTV à Paris me donnait un accès privilégié aux ministres et sénateurs. J’ai mené des projets sur des enjeux cruciaux, mais l’amertume est venue quand j’ai réalisé que j’étais moi-même manipulé. Des ministres (comme Hervé Morin, alors ministre de la Défense) en qui j’avais confiance retournaient leur veste après un entretien avec Sarkozy. Je me suis vu trahi, malgré des mois, voire des années, d’implication passionnée. Ce fut un choc, un sentiment de trahison qui a changé ma perception.

    6. Un engagement plus indépendant

    Aujourd’hui, je ne travaille plus comme sous-traitant politique aveugle. Je fais des opérations pour des ONG ou des projets dont je maîtrise les tenants et aboutissants. Je me suis détaché de l’influence des gouvernements, préférant éclairer les citoyens sur les subtilités de la manipulation cognitive. La pédagogie, c’est mon arme. Si je fais du conseil en stratégie, c’est en gardant une vision lucide de ce monde de l’influence. Ce détachement est essentiel pour préserver mon intégrité et continuer à exposer les rouages des manipulations. Mais à quel point un individu peut-il échapper aux jeux de pouvoir qui façonnent notre époque ? Voilà le dilemme qui m’anime chaque jour.

    7. Concilier engagement civique et professionnel

    Il n’est jamais simple de faire converger des engagements civiques forts avec des missions professionnelles de conseil stratégique. Pendant des années, j’ai vécu cette tension comme une forme d’injonction contradictoire jusqu’à ce que, par chance et par détermination, j’atteigne une certaine cohérence. Ma stratégie ? – Être transparent. C’est en 2020-2021, en affirmant mes convictions, que j’ai d’ailleurs perdu des clients. Certains y verront une perte, moi j’y vois une libération : la transparence a un coût, mais elle procure une force inestimable. Peut-on vraiment assumer ses engagements, même lorsqu’ils sont impopulaires ? Le dilemme reste entier.

    8. Exemple concret : la Mauritanie

    L’exemple des élections mauritaniennes de 2019 illustre l’impact du travail d’activiste. Internet coupé à 15 jours des élections, journalistes persécutés, familles menacées… Avec une équipe de journalistes et de hackers, nous avons orchestré des actions pour contrer la désinformation : détecter des serveurs pro-gouvernementaux, réviser des fiches Wikipédia corrompues. Oui, Wikipédia est imparfait, mais c’est là que tout le monde va. Alors, le combat s’y mène. Et si vous doutez de l’importance de ce front, souvenez-vous des campagnes de manipulation observées même dans des pays soi-disant « stables ». Mais, n’est-ce pas ironique que des opérations se déploient en Mauritanie, alors qu’elle est loin d’être une puissance géopolitique majeure ? Si des moyens considérables y sont mobilisés, imaginez ce qui se passe dans des élections en Russie ou aux États-Unis.

    9. Wikipédia : champ de bataille de la guerre cognitive

    Manipuler l’information sur Wikipédia n’est pas anodin. Un duel célèbre entre Sarkozy et Royal l’a montré : les informations sont souvent truquées en temps réel pour tromper l’adversaire. Cela prouve que la bataille cognitive se joue sur tous les fronts. Pourtant, certains méprisent Wikipédia. Je soutiens qu’il faut y agir, car le public s’y informe. Des équipes payées manipulent les contenus, alors des activistes doivent rétablir la vérité. Cela soulève la question : jusqu’où va la manipulation de l’information, et combien de citoyens en sont conscients ?

    10. L’Astroturfing : mouvement artificiel

    Un concept central en manipulation de masse est l’astroturfing : créer l’illusion d’un mouvement populaire (« de l’expression « grass root »), alors qu’il est financé de manière occulte. Le terme vient d’une marque de gazon artificiel, « AstroTurf ». L’exemple ? Des mouvements comme « Je suis Charlie » ou certaines campagnes LGBT ont suscité le doute : émanations spontanées ou opérations partiellement pilotées ou canalisées ? Des gouvernements, pourtant censés les interdire, orchestrent souvent ces opérations. Et que dire de certains conseillers d’Emmanuel Macron, pris la main dans le sac en manipulant les réseaux sociaux avec de faux profils en 2017 ? Les maladresses d’hier occasionnent malheureusement une courbe d’apprentissage et des perfectionnement aujourd’hui. Cette orchestration constante de l’opinion ne pousse-t-elle pas à se méfier de tout ?

    11. L’Influence de l’intelligence artificielle

    L’intelligence artificielle bouleverse le jeu. Les données, analysées par des algorithmes, permettent de prédire les réactions collectives, avec une efficacité redoutable. Cela soulève un paradoxe : à l’échelle individuelle, chacun peut se montrer vigilant, mais au sein d’une foule ? Là, les dynamiques sont incontrôlables. N’est-ce pas là la véritable menace ? Comment, en tant que citoyen, se défendre face à une science en constante évolution, qui se perfectionne en temps réel pour manipuler les masses ?

    12. Vers une nouvelle forme de démocratie ?

    L’extrême centre, qui prétend incarner la raison, est souvent accusé de cynisme. Sa stratégie : désorienter les citoyens en tenant un discours contradictoire (techniques exploitant les leviers de la « dissonance cognitive »). Certains y voient une méthode pour assécher l’énergie démocratique et contenir la révolte. Cela nourrit l’essor des populismes, de Trump aux mouvements souverainistes en Europe. Mais, ces mouvements sont-ils eux-mêmes spontanés ? Ou bien manipulés pour donner l’illusion d’une dissidence ? Finalement, nous vivons dans un monde de guerre cognitive permanente, où chaque initiative semble calculée pour captiver et désorienter. La vraie question reste : qui tire les ficelles ? Et nous, citoyens, comment échapper aux pièges de cette ingénierie sociale omniprésente ?

    13. Confrontation et violence sociale

    Nous assistons à un climat de confrontation croissante, symbolisé par des affrontements réguliers, comme ceux entre les gilets jaunes et les CRS. Cette violence résulte d’une frustration généralisée, mais n’est pas la seule réponse possible. Certains prônent des solutions alternatives, comme le développement de modèles plus créatifs et durables, tels que les écoles démocratiques et les éco-villages. Ces initiatives, bien que positives, se heurtent à un système qui cherche à les étouffer. Alors, quelle autre voie peut-on envisager ? Une remise en question de notre dépendance aux systèmes oppressifs ou simplement une fuite constructive ?

    14. Manipulation cognitive et domination sociale

    Le concept de « captologie » révèle comment nos actions sont inhibées par des stratégies sophistiquées. On parle de manipulations qui capturent notre attention par des débats stériles et des distractions, détournant notre énergie de l’action réelle. Cela soulève une question troublante : à quel point sommes-nous piégés par ces mécanismes, et comment en sortir ? L’Histoire montre que les mouvements révolutionnaires ont toujours été portés par une minorité éclairée. Mais qu’en est-il aujourd’hui ? Est-il réaliste d’espérer un changement quand la majorité reste passive, habituée et façonnée par des conditionnements ancestraux ?

    15. Évolution des techniques d’influence

    Dans les années 20, l’OSS – prédécesseur de la CIA – s’est penchée sur la conduite du changement. De là est né le concept de « nudge », une méthode apparemment bienveillante, mais non dénuée d’un cynisme latent. Les fondateurs de ces techniques, comme Martin Seligman, qui a étudié l’impuissance apprise, sont souvent cités en exemple. Mais derrière ces intentions apparemment nobles, se cache une arme redoutable : la capacité de contrôler des masses par l’induction de la résignation. Se pourrait-il que le discours de bien-être et de bonheur caché serve avant tout des intérêts de pouvoir ?

    16. La puissance des conflits intérieurs

    Nous sommes habités par un monstre intérieur : un combat incessant entre nos désirs et nos inhibitions. Ce conflit (le « monstre ») épuise notre énergie mentale et peut mener à une forme de dépression. Pourquoi ? Parce que ce refoulement permanent est socialement induit, nous poussant à ignorer ou à refouler nos véritables aspirations. La civilisation, pour Freud, repose sur ce refoulement, cette domestication de notre bestialité. Mais, faut-il vraiment sacrifier notre liberté intérieure pour maintenir l’ordre social ? Le refoulé ne revient-il pas en force et de manière chaotique plus tard ? Je défends l’idée que d’autres voies sont possibles, où vivre ensemble ne rime pas nécessairement avec renoncements et concessions avilissantes.

    17. Culture de la comparaison et narcissisme de masse

    Les réseaux sociaux exacerbent un phénomène déjà bien ancré : la comparaison constante. Cette compétition omniprésente, décrite par Spinoza comme l’une des plus tristes passions humaines, détruit l’empathie. Les jeunes d’aujourd’hui en sont les premières victimes, nées dans un monde où leur valeur dépend du nombre de « likes ». Comment retrouver le chemin de relations humaines authentiques quand tout n’est qu’apparence et superficialité ? Le déficit d’empathie n’est pas une fatalité, mais un symptôme alarmant d’une société qui se tire vers le bas.

    18. Guerre des égos et société hyperconnectée

    Le monde numérique favorise une guerre de tous contre tous. Chaque personne est devenue une monade, obsédée par son image et sa reconnaissance en ligne. Or, cette culture d’auto-promotion engendre une fatigue mentale colossale et une incapacité à collaborer. Ce n’est pas anodin : les ingénieurs sociaux utilisent ces failles pour maintenir l’ordre établi. Alors, que faire ? Comment reconstruire un tissu social basé sur la solidarité et la bienveillance ? La prise de conscience est la première étape vers un retour à des valeurs plus élevées, mais elle doit être suivie d’actions collectives courageuses.

    19. Antidote aux manipulations : la conscience (ou l’intelligence) collective

    Prendre conscience des biais cognitifs qui nous emprisonnent est crucial. Le biais de rivalité de proximité, par exemple, montre comment nous sommes programmés pour envier nos semblables plutôt que de nous unir à eux. Ce n’est qu’en dépassant cette propension à la jalousie que nous pouvons retrouver une vraie cohésion sociale. Finalement, il ne suffit pas de résister seul ; il faut créer des alliances basées sur la lucidité. Ensemble, en comprenant les stratégies de manipulation, nous avons le pouvoir de reprendre notre destin en main. C’est une invitation à se libérer, non par la fuite, mais par l’engagement et la résilience.

    20. La politesse comme outil de transformation sociale

    Je suis fasciné par l’idée simple mais révolutionnaire que la politesse, cette vertu souvent négligée, peut changer nos interactions. Loin d’être une simple formalité, elle est le ciment des relations humaines. Imaginez ce que serait le monde si on réapprenait à se complimenter sincèrement. Ça peut sembler banal, mais ce n’est pas une nouveauté : le philosophe Alain en avait déjà parlé en montrant comment un rire, même forcé, peut devenir contagieux. Lors de mes ateliers en entreprise, j’invite les participants à rire ensemble, même sans blague, et l’effet est immédiat : les barrières tombent, l’ambiance se détend. Et ce n’est pas qu’une question d’humeur : la neuroscience confirme que ce genre de pratiques booste la sécrétion de neurotransmetteurs comme l’oxytocine et l’acétylcholine, qui libèrent notre créativité. Mais allons plus loin, est-ce suffisant pour combattre les rapports de force du quotidien ? La sincérité peut-elle tout désamorcer ?

    21. La manipulation par l’ingénierie sociale

    Nous vivons une époque où la guerre se joue sur le terrain de l’information et de l’émotion. La guerre cognitive, cette cinquième génération de conflit, ne se fait plus avec des armes traditionnelles mais avec des biais cognitifs, des manipulations subtiles qui influencent nos perceptions. Je vois dans le cynisme ambiant une stratégie délibérée pour nous rendre dépendants, hypnotisés par les réseaux sociaux. Et si, au lieu de subir, on utilisait ces mêmes outils pour renforcer nos liens sociaux ? C’est l’idée d’une ingénierie sociale « positive ». Pourtant, ce combat est ambigu. Sommes-nous en train de remplacer une magie noire par une magie blanche, de nous battre avec les mêmes armes que nos adversaires ? La question mérite d’être posée : pouvons-nous vraiment échapper à cette dialectique ?

    22. Exemples de méthodes positives

    Prenons les écovillages : ces communautés autonomes, en apparence utopiques, ont intégré des pratiques qui semblent des techniques mais deviennent des réflexes de vie. En un an, ils ne voient plus ces exercices comme des obligations mais comme des modes d’être. J’ai travaillé avec eux, et c’est impressionnant de voir à quel point les rapports humains peuvent être transformés. Mais est-ce viable dans notre monde hyperconnecté ? Nous risquons d’oublier que même les meilleures intentions peuvent être manipulées. Un sceptique dirait que même la politesse peut devenir une forme de contrôle social, une nouvelle norme imposée.

    22. La Guerre Cognitive : une réalité cachée

    Enfin, j’insiste sur la gravité de la guerre cognitive. Beaucoup ne réalisent pas qu’ils sont en plein dedans. Le monde numérique nous façonne, et l’usage des réseaux comme TikTok pour abaisser le niveau de conscience collective en est un symptôme. La propagande moderne n’a rien à envier aux anciennes techniques : elle est systématique, invisible, et puissante. Le cynisme de cette manipulation est tel qu’on ridiculise ceux qui osent le dénoncer, les étiquetant de « complotistes ». Pourtant, les faits sont là : la baisse de 40 % de l’empathie chez les jeunes est effrayante. Mais doit-on accepter cela comme une fatalité ?

    23. Rester lucide, reprendre le pouvoir

    En conclusion, nous devons être méthodiques, tout en restant humains. La paix, paradoxalement, exige de comprendre la guerre, même si elle est psychologique. Chacun doit affûter son esprit critique. Et c’est là tout l’enjeu : passer de l’indifférence à la conscience. Cela demande des efforts, de la vigilance, mais surtout de la bienveillance, cette politesse du cœur qui finit par désamorcer les conflits. Nous devons garder espoir tout en restant lucides, comme des éclaireurs face à l’obscurité, car le futur dépend de notre capacité à dire la vérité, même quand elle dérange.

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    Frédéric Bascuñana
    Frédéric Bascuñanahttps://politoscope.fr
    Entrepreneur, citoyen engagé. J’observe avec tristesse mon pays perdre son honneur sous les exactions d’une caste cynique. Retrouvons notre dignité collective.

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